On y retrouve Cirth et Lazare, deux sorciers très différents mais particulièrement liés l'un à l'autre. Il semblerait que malgré leurs nombreux efforts pour tenter de vivre chacun de leur côté, le destin ne peut s'empêcher de sans cesse les réunir à nouveau pour affronter de nouveaux défis.
Lysandre et Seven, frères et rivaux malgré eux. Ces deux jeunes sorciers vont tenter d'évoluer dans un monde où les créatures surnaturelles tentent par tous les moyens de préserver leurs espèces de l'extinction. Entre manipulations politiques et sombres prophéties.
Relation particulière et ancestrale entre Elio un jeune vampyre, un ange déchu venu purger sa peine sur terre en quête de sa rédemption ; et Aylone son intermédiaire humain peu enchanté par sa toute nouvelle condition. Parviendront-ils ensemble à affronter la menace sang-d'argent ?
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Mar 16 Aoû - 17:54
T’as pas digéré la conversation avec ton cousin, t’as pas avalé qu’il ai osé parler de ta mère, de sa bouche maudite. Après ce qu’il t’as fais, après qu’il ai détruit toute ta vie, après que t’ai du passer des mois à osciller entre ta vie d’avant et la nouvelle qui venait de commencer, il avait osé. Pourtant la maigre consolation, c’était son état, c’est de savoir que physiquement il souffrait, que les stigmates apparaissaient sur son visage, ça suffisait, pour l’instant. Et tant que tu n’aurais pas trouvé la paix, la malédiction continuerait son œuvre. T’étais sortit de ton nouvel appartement Londonien, bien loin des quartiers chics ou tu traînais avant, non désormais maintenant que ta véritable nature avait été révélé tu n’étais plus qu’un paria parmi les tiens et le même genre parmi les démons en soit tu étais au milieu d’un chemin sans pouvoir atteindre une barrière ou une autre. Mais tout n’était pas si pire, t’essayais de t’acclimater, de composer avec ses étrangetés qui pouvait se passer depuis que tu avais appris que du sang de démon coulait dans tes veines. Tu ne travaillais pas aujourd’hui et la nuit venait de tomber et t’avais rejoins un de tes nouveau amis dans un léger sourire. « Bon on y vas ? » Il hochait la tête et vous marchiez ensemble, il t’avait aidé quand tout le monde t’avais tourné le dos et même si tu te doutais qu’il n’y avait pas que de la bonté d’âme ou alors tu étais trop méfiant envers une race qu’on t’avait toujours appris à détester ? « J’annulerais sans mal les sortilèges dans la maison de ma mère. Je trouverais peut être quelque chose la bas. » Quelque sur ton père, quelque chose sur elle, peut être même un message.
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Mar 16 Aoû - 17:55
Sourire plaqué sur le visage, tu l’attends en bas de chez toi, le petit Seven, tu l’avais trouvé quelques mois auparavant dans un état bien trop pathétique pour oser détourner ton chemin. Sa chute avait fait du bruit même dans votre monde à vous, pourtant t’avais pas eu le cœur à lui tourner le dos. Et il était pas si désagréable quand il faisait pas son sorcier de haut rang, s’amusant de ses flammèches lorsqu’il le voulait, il était vraiment trop théâtral ses sorciers c’était assez exaspérant. « Mais oui, tu vas faire ta petite magie. On vas rentrer dans ta maison de famille, tu vas me faire des gâteaux et on trouveras ton père et tout iras bien, ça à l’air super cette soirée, vraiment. » Il t’adresse un regard massacrant et toi tu rigoles vachement, il est plutôt distrayant tout de même.
Lysandre RosierReprésentant Sorcier- occupation : représentant sorcier à la congrégation, le dernier arrivé.
race : sorcier.
particularités : sorcier de premier ordre, gratifié du don d'oracle.
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Mar 16 Aoû - 17:56
Pour une fois, tu te déplaçais sans tes chiens de garde. C'est d'ailleurs bien plus commode pour passer inaperçu parmi les humains grouillant dans les rues de la ville-monde. Ton long caban noir, descendant jusqu'au bas de tes mollets, ne suffisait pas à te réchauffer. mains glacés, que tu frottes devant tes lèvres, tentant péniblement de te réchauffer. froid londonien bien trop pinçant pour la saison ? ou malédiction bien trop pesante en comparaison de ta pseudo trahison.. tu avais décidé de te rendre dans la maison de ton enfance, celle de ta tante. cette seconde mère, que tu avais toi-même, quelques mois auparavant, jeté en prison pour ton égoïste ascension aurait dit seven. cette pensée tu fis lever les yeux au ciel. un jour peut-être, espérais-tu, il finirait par comprendre. quelques rues plus tard, te voilà enfin devant la jolie demeure. un soupir nostalgique, trois marches et deux tours de clé plus tard : et te voilà à l'intérieur de ce que tu avais toujours considéré comme chez toi. rien n'avait bougé. et un silence inhabituel régnait. cette maison n'avait jamais été silencieuse, elle disposait presque de sa propre volonté. elle était une entité, à part entière. et elle hébergeait en son sein, morts et vivants de votre lignée. et son silence peu commun à ton arrivé, tu ignorais encore comme tu devais l'interpréter.
" Allez, c'est partis.. " que tu te murmures à toi-même, comme un encouragement chuchoté, le cœur serré que tu tentes d'ignorer en sentant remonter ces nombreux souvenirs d'enfance vivants encore entre ces murs ; ces instants passés aux côtés de ton cousin.. tu déambules, tu vires, tu fouilles. Rangeant dans ce cas à dos que tu tenais par la poignée, quelques babioles sachant susciter ton intérêt. Quand tout à coup, te sortant de ta quête du trésor, un bruit de porte se fit porter jusqu'à tes oreilles. Suivis d'écho de voix.. tu n'étais plus seul. " C'est une propriété privée. " que tu lances à l'aveugle du bout du couloir, agacé. Pensant à l'intrusion de jeunes gamins, qui penseraient la maison abandonnée.
" Allez, c'est partis.. " que tu te murmures à toi-même, comme un encouragement chuchoté, le cœur serré que tu tentes d'ignorer en sentant remonter ces nombreux souvenirs d'enfance vivants encore entre ces murs ; ces instants passés aux côtés de ton cousin.. tu déambules, tu vires, tu fouilles. Rangeant dans ce cas à dos que tu tenais par la poignée, quelques babioles sachant susciter ton intérêt. Quand tout à coup, te sortant de ta quête du trésor, un bruit de porte se fit porter jusqu'à tes oreilles. Suivis d'écho de voix.. tu n'étais plus seul. " C'est une propriété privée. " que tu lances à l'aveugle du bout du couloir, agacé. Pensant à l'intrusion de jeunes gamins, qui penseraient la maison abandonnée.
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Mar 16 Aoû - 17:57
Le regard qui se faisait triste lorsque vous arriviez enfin devant cette maison, le cœur qui se serrait brièvement lorsque la seule pensée qui te venait était pour ta mère. Vous aviez toujours eu une relation particulière, elle t’avait toujours poussé plus loin, elle avait toujours été exigeante avec toi, bien plus qu’avec Lysandre et pourtant tu n’avais regretté, tu ne t’étais jamais plains. T’étais devenu le plus jeune milicien, tu avais grimpé les échelons par la force de ton travail. Elle te manquait. Tu sais qu’elle désapprouverait tout ce que tu es devenu ses derniers mois, qu’il n’y avait rien de digne dans le fond de tes prunelles. Tu découvrais tout les jours ta nouvelle nature et tu détestais ça.
Un coup d’épaule de la part de Dean, tu lui lançais un regard de haut en bas avant d’avancer, le doigt qui se posait sur la serrure alors que tu mimais un simple sigil pour qu’elle s’ouvre à ton contact, léger sourire sur tes lèvres en intimant au brun derrière de toi de suivre lorsque tu entrais.
Un coup d’épaule de la part de Dean, tu lui lançais un regard de haut en bas avant d’avancer, le doigt qui se posait sur la serrure alors que tu mimais un simple sigil pour qu’elle s’ouvre à ton contact, léger sourire sur tes lèvres en intimant au brun derrière de toi de suivre lorsque tu entrais.
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Mar 16 Aoû - 17:57
Ton regard se posait partout et même sous ta nature de démon, tu pouvais sentir que cette maison n’était pas une simple maison, un frisson froid venait à te parcourir le corps, mouvement d’épaule comme pour essayer de te débarrasser de cette sensation factice, tu n’aimais pas ça du tout, t’avais quelque chose en toi qui te disait de décamper que tu n’avais rien à foutre ici et pourtant à peine quelques pas à l’intérieur quand tu murmurais en attrapant le bras de Seven pour le stopper net dans sa progression. «Nous ne sommes pas seuls. »
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Mar 16 Aoû - 17:57
Froncement de sourcils à ses mots, il avait des sens que tu n’avais pas surtout quand tu étais concentré sur autre chose. «C’est une des raisons pour lesquelles, j’aime bosser avec toi. » Que tu marmonnes dans un sourire avant de te figer dans la seconde ou tu entends la voix qui résonne entre les murs et que tes poings se serrent, la chaleur s’installant brutalement dans la maison, c’est plus fort que toi, tu pars en trombe jusqu’à la source de cette voix, allumant les lumières d’un geste de la main en restant dans l’encadrement des portes ouvertes. « En plus de voleur d’avenir. Je constate qu’en plus tu pilles ceux que tu trahis. » Le regard est froid, le menton relevé mais tu gardes un calme détonnant en ayant très bien vu qu’il avait un sac à dos, les pas des Dean te rejoignent en courant alors qu’il agrippe ton bras en te jetant un regard sombre, te prévenant de garder ton sang froid, tu gardes les mâchoires serrées, ne t’avançant pas d’un pas de plus.
- Lysandre RosierReprésentant Sorcier
- occupation : représentant sorcier à la congrégation, le dernier arrivé.
race : sorcier.
particularités : sorcier de premier ordre, gratifié du don d'oracle.
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Mar 16 Aoû - 18:00
Soupire d’agacement en refermant d’un geste sec la fermeture du sac que tu tenais par la poignée avant de le déposer sur le fauteuil à ta droite, précautionneusement : « Seven. Moi aussi j’suis content de te voir. Mais tu devrais changer de disque un peu, ça devient lassant. » On pourrait croire qu’au fil des mois tu aurais finis par t’habituer, à voir autant de rancoeur dans les yeux de ton cousin ; mais la vérité : c’est que cela te faisait toujours aussi mal, à chaque fois.. D’un coup d’œil sur le côté, tu toises de haut en bas son acolyte, pas désagréable à regarder. Mais tu te retrouves bien vite refroidis par l’effet ressenti lorsqu’il posa à son tour les yeux sur toi. L’effet d’une vague de chaleur sur la peau, celle d’un baiser passionné, chargé d’ivresse. L’effet propre du regards d’un démon, posé sur un sorcier. « J’ai connu cette maison plus sélective en ce qui concerne ses invités.. » et comme pour appuyer ton propos, un grincement de parquet se fit entendre, sans que personne n’eut bougé d’un iota. Un sourire au coin des lèvres, tu t’approches, aussi droit que ton état pouvait te le permettre, sans quitter un seul instant ton cousin des yeux. Jusqu’à te planter là, devant eux. Au dernier moment ton regard bifurques sur le démon, à qui tu tends là main, sourire aux lèvres mais le ton condescendant. « Je crois pas que nous ayons déjà eu le plaisir d’être présenté. Lysandre Rosier, représentant sorcier à la congrégation. » fixant l’inconnu, ignorant proprement à présent dans ton comportement, la présence de ton propre sang.
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Mar 16 Aoû - 18:01
Léger haussement d’épaules lorsqu’il te dit que répètes toujours la même chose mais tu te fiches bien de ce qu’il pense à vrai dire, parce que la tout t’as le regard rivé sur le sac, regard transparent qui passe de l’un à l’autre avant que tu ne retrouves les yeux sombres de acolyte. Oui, je sais ce que tu vas me dire, pas besoin, j’ai compris, je sais. Comme si vous n’aviez pas besoin de parler, comme si un regard suffisait et pourtant un sourire t’étire un peu les lèvres, à peine une seconde parce que dés que ton regard se tourne, ton visage n’est plus le même, il est redevenu froid et maître de lui même, comme si aucunes émotions ne pouvaient t’atteindre, Aux mots de Lysandre, le parquet qui grince et tu claques ta langue au palais en te redressant, parlant bien plus fort. « A ce que je sache je suis encore le dernier de la lignée Egerton. Cette maison est mienne et la personne que je trouve digne de rentrer dans cette maison, le seras. » Tu croises les bras sur ton torse en l’observant de haut en bas, t’as presque envie de le tacler de nouveau sur son état physique qui fait carrément peur à voir et qu’il n’est plus aussi attirant que auparavant mais tu te tais et réprime un léger rire narquois dans ta bouche, c’est seulement lorsqu’il s’approche un peu et finis par planter son regard sur Dean que tu empêches sa main de serrer celle de Lys’. Je le ferais pas à ta place, on sait jamais de quels petits tours il est encore capable.
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Mar 16 Aoû - 18:02
Tu assistes à un échange particulier ou plutôt un combat silencieux mais ton air n’est aucunement impressionné, t’as l’impression que les sorciers passent un temps infini à se combattre eux mêmes pour après le reporter sur les autres races, ils peuvent bien catégoriser votre espèce comme inférieur, toi ta vérité est la seule qui compte. Observe Lysandre, t’as beaucoup entendu parler de lui ses derniers temps et il émane de lui, une odeur assez étrange, est ce son humeur? Ou tout autre chose, tu ne saurais pas mettre le doigt dessus. La main de Seven t’arrête lorsque tu vas pour lui serrer la main et tu hausses un sourcil amusé, possessif ? Mais il n’as pas tord. « Non en effet, pourtant j’ai beaucoup entendu parler de vous représentant Rosier. » Léger mouvement de tête en esquissant un sourire en coin. « Loin de moi l’idée de m’immiscer dans vos problèmes de familles hein. Mais on est venu pour quelque chose Sev’ on pas traîner. »
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Mar 16 Aoû - 18:02
Tu roules des yeux, reculant d’un pas, les émotions qui affluent et que tu parviens difficilement à maîtriser, le regard qui s’assombrit un peu trop vite, il ne lui serre pas la main et un sourire sur le visage, tu passes ta langue sur tes lèvres. « Je veux savoir ce qu’il est venu voler chez moi. A croire que t’as rêvé de prendre ma vie pendant longtemps. » Rien que de parler, les images de ce jour la, sous ce dôme magique reviennent, quand vous vous êtes protégés l’un l’autre avant qu’il ne brise tes rêves et tes espoirs devant tout les gens importants et l’assemblée. Devant ta propre mère. La gorge se serre, l’air à du mal à passer et tu secoues la tête pour essayer de chasser ses images.
- Lysandre RosierReprésentant Sorcier
- occupation : représentant sorcier à la congrégation, le dernier arrivé.
race : sorcier.
particularités : sorcier de premier ordre, gratifié du don d'oracle.
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Mar 16 Aoû - 18:05
tu manques de t’étouffer en voyant Seven s’adresser à la maison. son entêtement à te porter autant de haine t’aurais presque poussé à lui rétorquer « ça, on peut pas en être certain.. » lorsqu’il clame être le dernier de sa lignée. mais tu estimes, plutôt judicieusement, avoir suffisamment utilisé sa généalogie pour le discréditer, et cela pour plusieurs vies.. tu t’abstiens donc, mais tes doigts se crispent sur eux-mêmes face au refus du démon de te serrer la main. tu mentiras si tu disais que ton égo grandissant malgré toi au fil du temps à occuper ta nouvelle fonction en avait pas pris un sérieux coup, sur le moment.. mais tant pis. tu passes à nouveau l’éponge, pour cette fois seulement.
« C’est pourtant bien ce que vous faites en venant ici. » que tu réponds un peu sèchement au démon pour clore votre conversation lorsqu’il évoque ne pas tenir à s’immiscer dans vos histoires de famille. Tu ne fais qu’un tour sur toi-même pour te diriger à nouveau vers ton sac à dos, le tenant fermement entre tes doigts.
Une fois que se fût chose faite, tu t’adressas à ton cousin d’un ton qui ne laissait plus rien présager de bon..
« Écoutes Seven, je ne te protègerais pas plus longtemps. » tu te racles le gorge, sachant pertinemment que cette phrase ne résonnerait pas tout à fait de la même façon dans sa caboche. « Tu commences seulement à passer inaperçu depuis.. ce jour-là. Je pense vraiment pas que ce serait dans ton intérêt que je fasse ouvrir une enquête sur toi, au sujet de mon état. » tu marques une pause.. tu n’avais rien fait jusque-là, pensant avoir grandement mérité que s’abattent sur toi la colère de ton cousin après ta trahison.. mais s’en était trop à présent. Tu avais suffisamment payé. Il était responsable de ton état, tu en avais l’intime conviction, et l’avait presque avoué à mi-mot. Dans son attitude. Tu l’avais deviné sans qu’il n’est besoin de l’avouer ouvertement.
« Ce petit jeu à assez duré maintenant, fait un pas vers moi, Seven. Et j’en ferais de même pour toi. » la mâchoire serrée, autant que ton poing autour de la poignée du sac. Tu attends, le regard sombre, au même moment, un bruit de brisure, et tu vois comme une fissure s’ouvrant dans le mur. Cadeau de la maison, une photo de vous enfant que tu reconnais d’un coup, vieux bout de papier, sortant de la faille dans la cloison..
« C’est pourtant bien ce que vous faites en venant ici. » que tu réponds un peu sèchement au démon pour clore votre conversation lorsqu’il évoque ne pas tenir à s’immiscer dans vos histoires de famille. Tu ne fais qu’un tour sur toi-même pour te diriger à nouveau vers ton sac à dos, le tenant fermement entre tes doigts.
Une fois que se fût chose faite, tu t’adressas à ton cousin d’un ton qui ne laissait plus rien présager de bon..
« Écoutes Seven, je ne te protègerais pas plus longtemps. » tu te racles le gorge, sachant pertinemment que cette phrase ne résonnerait pas tout à fait de la même façon dans sa caboche. « Tu commences seulement à passer inaperçu depuis.. ce jour-là. Je pense vraiment pas que ce serait dans ton intérêt que je fasse ouvrir une enquête sur toi, au sujet de mon état. » tu marques une pause.. tu n’avais rien fait jusque-là, pensant avoir grandement mérité que s’abattent sur toi la colère de ton cousin après ta trahison.. mais s’en était trop à présent. Tu avais suffisamment payé. Il était responsable de ton état, tu en avais l’intime conviction, et l’avait presque avoué à mi-mot. Dans son attitude. Tu l’avais deviné sans qu’il n’est besoin de l’avouer ouvertement.
« Ce petit jeu à assez duré maintenant, fait un pas vers moi, Seven. Et j’en ferais de même pour toi. » la mâchoire serrée, autant que ton poing autour de la poignée du sac. Tu attends, le regard sombre, au même moment, un bruit de brisure, et tu vois comme une fissure s’ouvrant dans le mur. Cadeau de la maison, une photo de vous enfant que tu reconnais d’un coup, vieux bout de papier, sortant de la faille dans la cloison..
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Mar 16 Aoû - 18:07
« Je suis encore chez moi, c’est le seul endroit duquel tu ne pourras pas me bannir. Désolé pour toi. C’est sur que cette maison irait bien avec ton nouveau statut. » Tu souffles lentement entre tes lèvres, étonnament c’est maintenant que ta vie avait changé que t’avais tout d’un danseur de flammes, tu pouvais les faire danser comme les émotions filaient dans ton esprit, elles devenaient tout aussi dangereuse que toi ses derniers temps, tu avais réussis à gagner la loyauté du feu mais le contrôle devenait aléatoire suivant ton humeur et ça ne faisait qu’amplifier tes soucis de colère.
Et il parle Lysandre et tu voudrais pouvoir en rire mais ton visage se défait. De quel droit pouvait t’il se permettre de reparler de ce jour maudit ? Comment pouvait t’il ? Regard courroucé, l’air ambiant qui se réchauffe dans l’instant, le visage qui se reprends instantanément, rictus sur les lèvres. « Ouvre ton enquête. Tu pourras pas faire pire que ce que t’as déjà fais. » T’entends Dean marmonner mais tu lèves simplement les yeux au ciel. « Montre moi ce que t’as dans ce sac. Sinon je le prendrais de force. »
Léger sursaut quand le bruit de brisure résonne dans la maison, si même la maison se mets à se mêler de vos histoires vous êtes loin d’être rendu. Un pas pour attraper celle ci, la regardant, le coeur qui se serre brutalement, les émotions qui deviennent de plus en plus difficile à contrôler. « Qu’est ce que tu vas faire toi.. ? » Difficile de parler, difficile de ressasser avec la personne en face toi, celle que t’aimais le plus, celle qui comptait autant. Celle qui est devenue la pire personne en quelques mots à peine. Et tu te dis depuis ce jour que c’est fou comme juste quelques phrases peuvent retourner une vie, comme ses mensonges t’ont mis à terre
« T’as bousillé le travail d’une vie. T’as falsifié des souvenirs pour me mettre plus bas que terre. Tu m’as volé ma place, celle pour laquelle t’as jamais travaillé. » La photo prends feu, les larmes qui voudraient venir perler tes yeux, s’écouler le long de tes joues mais ta peau est trop brûlante pour qu’elles puissent y survivre bien longtemps. « Ce que tu vis ne prendras fin que le jour ou je trouverais la paix. » Ravale toute la haine qui voudrait pouvoir continuer à s’épancher. « On sait tout les deux que c’est peine perdue. »
Et il parle Lysandre et tu voudrais pouvoir en rire mais ton visage se défait. De quel droit pouvait t’il se permettre de reparler de ce jour maudit ? Comment pouvait t’il ? Regard courroucé, l’air ambiant qui se réchauffe dans l’instant, le visage qui se reprends instantanément, rictus sur les lèvres. « Ouvre ton enquête. Tu pourras pas faire pire que ce que t’as déjà fais. » T’entends Dean marmonner mais tu lèves simplement les yeux au ciel. « Montre moi ce que t’as dans ce sac. Sinon je le prendrais de force. »
Léger sursaut quand le bruit de brisure résonne dans la maison, si même la maison se mets à se mêler de vos histoires vous êtes loin d’être rendu. Un pas pour attraper celle ci, la regardant, le coeur qui se serre brutalement, les émotions qui deviennent de plus en plus difficile à contrôler. « Qu’est ce que tu vas faire toi.. ? » Difficile de parler, difficile de ressasser avec la personne en face toi, celle que t’aimais le plus, celle qui comptait autant. Celle qui est devenue la pire personne en quelques mots à peine. Et tu te dis depuis ce jour que c’est fou comme juste quelques phrases peuvent retourner une vie, comme ses mensonges t’ont mis à terre
« T’as bousillé le travail d’une vie. T’as falsifié des souvenirs pour me mettre plus bas que terre. Tu m’as volé ma place, celle pour laquelle t’as jamais travaillé. » La photo prends feu, les larmes qui voudraient venir perler tes yeux, s’écouler le long de tes joues mais ta peau est trop brûlante pour qu’elles puissent y survivre bien longtemps. « Ce que tu vis ne prendras fin que le jour ou je trouverais la paix. » Ravale toute la haine qui voudrait pouvoir continuer à s’épancher. « On sait tout les deux que c’est peine perdue. »
- Lysandre RosierReprésentant Sorcier
- occupation : représentant sorcier à la congrégation, le dernier arrivé.
race : sorcier.
particularités : sorcier de premier ordre, gratifié du don d'oracle.
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Mar 16 Aoû - 18:08
tu ne saurais même pas trouver de mot pour illustrer cette effroyable sensation qui te bouffait littéralement les entrailles à cet instant. Ses mots à lui comme des poignards dans ton coeur, dans ton âme.. déjà plantés pourtant, mais tant remués à présent. « c’est la vie Seven, passe à autre chose maintenant !! » oui tu avais lui avais pris, à la déloyale, la place qu’il convoitait plus que tout au monde et ce juste sous son nez.. alors qu’il te raye de sa vie, si cela pouvait l’aider à mieux dormir la nuit, tel était ton secret, ton fardeau. Et tu l’aurais porté tout du long de ta vie, pour lui. Ton cousin bien aimé.. mais tu ne saurais supporter d’avantage cette haine permanente.. et cette souffrance.. quand la photo brûles entre ses doigts, tu t’approches, virulent. Saisissant son bras brûlant, à t’en faire cloquer la paume des mains. Mais toi, tu lâche rien. Et a ton tour tu bafoues toutes vos lois, pour entrer de force dans son esprit. «œil sorcier, sous mon ordre, ouvre-toi sans sourciller. laisse-moi te montrer ce que tu ne saurais voir, ou imaginer. » et voilà que tu pénètres dans son esprit, lui offrant en vision la cellule dans laquelle sa mère était retenue captive, sans contact avec l’extérieur. une chambre vide et froide, le corps meurtri de plais encore purulentes.. une particulièrement, courant de sa gorge jusqu’au bas de son nombril. Elle souffre, elle est au bord de la brisure.. son calvaire est insoutenable.. bientôt, elle n’existerait plus.
tout en maintenant la vision d’horreur en place, tu lui murmures dans sa caboche ouverte par ton sort maintenu en place « les méthodes d’interrogations traditionnelles n’ont rien donné sur elle.. la congrégation est loin d’être aussi droite que tu le penses, ils sont patients, la retienne captive depuis des mois. ce que tu vois là, n’est pas encore arrivé, c’est ce qui l’attends si je n’arrive pas à la convaincre de parler. Ils vont tenter un sortilège d’ouverture, Seven. » un sortilège d’ouverture, une puissante et abjecte magie noire, de la haute magie sous sa forme la plus sombre… ouvrir une sorcière, littéralement. Faire tomber toutes ses barrières Et lire dans ses entrailles, dans sa chair, ses plus sombres secrets.. rares sont ceux capables d’y survivre.. et ces quelques exceptions, ne sont plus que des coquilles vides. Enveloppes charnelles à peine chaude, maintenue en vie par un cœur tout juste plus résistant que l’esprit.. « Je saurais lui éviter ça, Seven. Mais tu dois arrêter de me mettre des bâtons dans les roues. Maintenant. » douleur persistante dans la caboche, lorsque qu’enfin se brise le sortilège. Retour à la dure réalité.
tout en maintenant la vision d’horreur en place, tu lui murmures dans sa caboche ouverte par ton sort maintenu en place « les méthodes d’interrogations traditionnelles n’ont rien donné sur elle.. la congrégation est loin d’être aussi droite que tu le penses, ils sont patients, la retienne captive depuis des mois. ce que tu vois là, n’est pas encore arrivé, c’est ce qui l’attends si je n’arrive pas à la convaincre de parler. Ils vont tenter un sortilège d’ouverture, Seven. » un sortilège d’ouverture, une puissante et abjecte magie noire, de la haute magie sous sa forme la plus sombre… ouvrir une sorcière, littéralement. Faire tomber toutes ses barrières Et lire dans ses entrailles, dans sa chair, ses plus sombres secrets.. rares sont ceux capables d’y survivre.. et ces quelques exceptions, ne sont plus que des coquilles vides. Enveloppes charnelles à peine chaude, maintenue en vie par un cœur tout juste plus résistant que l’esprit.. « Je saurais lui éviter ça, Seven. Mais tu dois arrêter de me mettre des bâtons dans les roues. Maintenant. » douleur persistante dans la caboche, lorsque qu’enfin se brise le sortilège. Retour à la dure réalité.
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Lun 16 Jan - 21:30
T’as un espèce de rire qui se coince dans ta gorge lorsque Lysandre prétends que c’est la vie et qu’il faut passer à autre chose, c’est clair qu’il est plus simple de dire ce genre de chose lorsqu’on est sur un petit trône et tu te retiens bien de lui dire ça, tu lui fais un signe de la main, l’air de dire que tu balayes ses paroles d’un revers de main. Il ne devrait pas te toucher, pas quand tu es dans cet état et il le sait parfaitement , qu’il pourrait s’y brûler gravement mais il semble mal prendre lorsque la photo se brûle, ce n’est que du papier, ce n’est rien, c’est à peine tangible, contrairement à vos âmes. A quel point vous vous blessez encore plus à chaque instant que vous passez ensemble.
Et les formules qu’il prononce, il envoie lui aussi en l’air toutes vos lois, ça te fais mal de le sentir s’insinuer dans ta tête, tu voudrais lui hurler d’arrêter mais aucun mot ne parviens à franchir la barrière de tes lèvres, d’abord tu te débats, mentalement, tu voudrais pouvoir le repousser mais la vérité c’est que ton esprit est ébranlé, hanté et faible depuis trop longtemps, t’es jamais parvenu à prendre réellement le dessus depuis les Épreuves même si tu donnes le change et ton cousin arrive aisément à t’imposer des images. Et quand tu te calmes enfin tu observes et la vision de ta mère te coupe le souffle, comme si tu avais même oublié comme il était possible de respirer face au choc que tu vois. L’horreur même de ta génitrice, de la personne que tu aimes le plus dans ce foutu monde. Même si ton père était un démon, même si elle a toujours été dure, et même si toutes les raisons du monde, tu donnerais ta vie pour elle. Regard mauvais en entendant la voix de Lysandre, comme si t’avais envie de le croire ce sale traite. Un sortilège d’ouverture. « Ferme la, t’entendre c’est déjà difficile mais dans ma tête, c’est carrément l’enfer. C’moi qui vais supplier pour un sortilège d’ouverture si tu ne fais pas cesser ça. Maintenant. » Et lui le grand Seigneur, il peut tout arrêter, il sait, il peut. Putain ce que tu peux le détester. Du plus profond de tes tripes. Lorsque le sort prends fin tu recules et sent directement la prise de Dean sur ton épaule, tu sais pas pourquoi, lui il ne s’est jamais vraiment brûlé. Tu restes silencieux, réfléchissant, essayant de faire le vide dans ta tête pendant quelques secondes. Soufflant un bon coup pour continuer à pousser ton esprit à réfléchir. « Je t’ai déjà dis que je ne pouvais rien y faire. C’est une malédiction. Comme son nom l’indique. Je n’ai posé qu’une condition à ta libération. Et si ne me crois pas libre à toi de retourner dans ma tête. Pile au jour de ta trahison. Lorsque je suis rentré chez moi. » La main du démon qui descends jusqu’à ton bras pour te tirer un peu plus à lui et t’empêcher de tenter quoi que ce soit contre le brun. « Tu me demandes ça maintenant. Mais ce jour la, pourquoi tu ne l’as pas protégé elle ? Pourquoi tu n’as pensé qu’à ta personne ? Peut être que tu me faisais tomber moi. Mais elle, tu la condamnais. Cette histoire ne te regarde en rien. Tu n’es rien. Tu n’es qu’une pièce rapporté à une famille qui ne t’as jamais demandé. Tes parents ne voulaient pas de toi. Alors tu étais ici. » C’est faux. Mais tu ne peux pas lui dire la vérité jamais. « Sauve la si tu tiens un tant soit peu à ce que les choses s’arrangent entre nous. Et si jamais t’as besoin de pouvoirs. Ça tombe bien. J’en ai. Et lui aussi derrière. Mais Cain à été trahis par Abel. Il est de mon côté. Il ne te laisseras pas comme ça. »
Et les formules qu’il prononce, il envoie lui aussi en l’air toutes vos lois, ça te fais mal de le sentir s’insinuer dans ta tête, tu voudrais lui hurler d’arrêter mais aucun mot ne parviens à franchir la barrière de tes lèvres, d’abord tu te débats, mentalement, tu voudrais pouvoir le repousser mais la vérité c’est que ton esprit est ébranlé, hanté et faible depuis trop longtemps, t’es jamais parvenu à prendre réellement le dessus depuis les Épreuves même si tu donnes le change et ton cousin arrive aisément à t’imposer des images. Et quand tu te calmes enfin tu observes et la vision de ta mère te coupe le souffle, comme si tu avais même oublié comme il était possible de respirer face au choc que tu vois. L’horreur même de ta génitrice, de la personne que tu aimes le plus dans ce foutu monde. Même si ton père était un démon, même si elle a toujours été dure, et même si toutes les raisons du monde, tu donnerais ta vie pour elle. Regard mauvais en entendant la voix de Lysandre, comme si t’avais envie de le croire ce sale traite. Un sortilège d’ouverture. « Ferme la, t’entendre c’est déjà difficile mais dans ma tête, c’est carrément l’enfer. C’moi qui vais supplier pour un sortilège d’ouverture si tu ne fais pas cesser ça. Maintenant. » Et lui le grand Seigneur, il peut tout arrêter, il sait, il peut. Putain ce que tu peux le détester. Du plus profond de tes tripes. Lorsque le sort prends fin tu recules et sent directement la prise de Dean sur ton épaule, tu sais pas pourquoi, lui il ne s’est jamais vraiment brûlé. Tu restes silencieux, réfléchissant, essayant de faire le vide dans ta tête pendant quelques secondes. Soufflant un bon coup pour continuer à pousser ton esprit à réfléchir. « Je t’ai déjà dis que je ne pouvais rien y faire. C’est une malédiction. Comme son nom l’indique. Je n’ai posé qu’une condition à ta libération. Et si ne me crois pas libre à toi de retourner dans ma tête. Pile au jour de ta trahison. Lorsque je suis rentré chez moi. » La main du démon qui descends jusqu’à ton bras pour te tirer un peu plus à lui et t’empêcher de tenter quoi que ce soit contre le brun. « Tu me demandes ça maintenant. Mais ce jour la, pourquoi tu ne l’as pas protégé elle ? Pourquoi tu n’as pensé qu’à ta personne ? Peut être que tu me faisais tomber moi. Mais elle, tu la condamnais. Cette histoire ne te regarde en rien. Tu n’es rien. Tu n’es qu’une pièce rapporté à une famille qui ne t’as jamais demandé. Tes parents ne voulaient pas de toi. Alors tu étais ici. » C’est faux. Mais tu ne peux pas lui dire la vérité jamais. « Sauve la si tu tiens un tant soit peu à ce que les choses s’arrangent entre nous. Et si jamais t’as besoin de pouvoirs. Ça tombe bien. J’en ai. Et lui aussi derrière. Mais Cain à été trahis par Abel. Il est de mon côté. Il ne te laisseras pas comme ça. »
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